La Une de la revue des Cadets du Rail et première expérience journalistique pour Michel Chevalet dans le domaine des chemins de fer. Depuis, il a parcouru un long chemin... (1959)
- Septembre 1939 : Naissance à Paris de Michel Chevalet. La France et la Grande Bretagne ont déclaré la guerre à l'Allemagne. C'est le début de la drôle de guerre. Enfant, il se passionne pour le Meccano, un jeu de construction à base de pièces métalliques que l'on assemble au moyen de vis et d'écrous... Une vocation était en train de naître...
-1955 : A la naissance d'Europe numéro 1, alors qu'il était élève en seconde, Michel participe à l'émission, "Europe Jeunesse". Déjà les gènes de l'audiovisuel commencent à poindre le bout de leur nez...
-1958 : Mention "bien" pour Michel Chevalet qui passe avec succès son baccalauréat au lycée technique de Nogent-sur-Marne. Fidèle à ses jeux d'enfance, il se destine, alors, à devenir ingénieur.
-1958 : Etudes d'ingénieur -1959 : Michel a attrapé le virus du chemin de fer, un virus qui ne le quittera plus... Il fonde, en compagnie de quelques copains, le Club des Cadets du rail avec une revue à la clé ! Michel, en bon pédagogue qu'il est déjà, y tient une rubrique régulière. Il n'est pas un vistamboire qui lui échappe !
-1962 : Retour à la fac afin de rallonger le sursis de l'Armée, guerre d'Algérie oblige et, nécessité oblige, il obtient un poste de professeur auxiliaire de mathématiques.
-1966 : Ecole Normale et un diplôme à la clef, celui de professeur.
-1966/ fin 1967 : Service militaire effectué à Paris, pour le compte du magazine des armées TAM ( « Terre, Air, Mer »). Dix-huit mois, c'est mieux que les trente et un mois initialement prévus ! Michel Chevalet y acquiert le goût du journalisme en compagnie du futur chroniqueur sportif de la 2, Pierre Salviac, et de Stéphane Collaro, de joyeux drilles en perspective...
-1955 : A la naissance d'Europe numéro 1, alors qu'il était élève en seconde, Michel participe à l'émission, "Europe Jeunesse". Déjà les gènes de l'audiovisuel commencent à poindre le bout de leur nez...
-1958 : Mention "bien" pour Michel Chevalet qui passe avec succès son baccalauréat au lycée technique de Nogent-sur-Marne. Fidèle à ses jeux d'enfance, il se destine, alors, à devenir ingénieur.
-1958 : Etudes d'ingénieur -1959 : Michel a attrapé le virus du chemin de fer, un virus qui ne le quittera plus... Il fonde, en compagnie de quelques copains, le Club des Cadets du rail avec une revue à la clé ! Michel, en bon pédagogue qu'il est déjà, y tient une rubrique régulière. Il n'est pas un vistamboire qui lui échappe !
-1962 : Retour à la fac afin de rallonger le sursis de l'Armée, guerre d'Algérie oblige et, nécessité oblige, il obtient un poste de professeur auxiliaire de mathématiques.
-1966 : Ecole Normale et un diplôme à la clef, celui de professeur.
-1966/ fin 1967 : Service militaire effectué à Paris, pour le compte du magazine des armées TAM ( « Terre, Air, Mer »). Dix-huit mois, c'est mieux que les trente et un mois initialement prévus ! Michel Chevalet y acquiert le goût du journalisme en compagnie du futur chroniqueur sportif de la 2, Pierre Salviac, et de Stéphane Collaro, de joyeux drilles en perspective...
Michel Chevalet, à ses débuts en télé, en compagnie de son épouse, Josiane qui a été la productrice de sa première émission TV, La petite science
-2 janvier 1968 : Michel Chevalet réintègre l'Education nationale jusque fin 1971. Et c'est le début de la vie professionnelle comme prof de math et de physique-chimie. Il aura, entre autres, comme élèves, le futur journaliste Patrice Duhamel et... un certain Laurent Voulzy.
Pendant ce temps, il entreprend une collaboration régulière avec la revue "Science et avenir", le quotidien "La Croix" et avec l'ORTF. Il côtoie dans l'équipe les grands noms de la vulgarisation scientifique tels que, François de Closet, Albert Ducroq ou Martine Allain-Régnault...
-1er janvier 1972 : Michel CHEVALET quitte l'enseignement pour rejoindre l'ORTF, et la rédaction du journal télévisé, "24heures sur la 2". La troisième chaîne vient juste de voir le jour ; Jean Lanzi et Jean-Pierre Elkabbach présentent le J.T sur la Une...
Michel Chevalet a été repéré pour ses articles par Jacques Alexandre, Directeur de l'information et Michel Péricard, le rédacteur-en-chef de l'époque. Jean-Pierre Chapel lui met "le pied à l'étrier" et le prend comme second pour commenter les missions spatiales Apollo.
-En parallèle, dès 1972 et à la demande de Jacqueline Joubert (connue pour êt re l'une des deux premières speakerines de la télé, mariée au journaliste Georges de Caunes et maman d'Antoine de Caunes), Michel Chevalet anime une émission scientifique pour la jeunesse ; c'est une "première" et une révolution pour l'époque. Son nom : "la petite science" ; elle va durer 10 ans. A cette époque, ces com pagnons de plateaux ont pour nom, Patrick Sabatier, Soizic Corn et... Nicolas Hulot !
-Michel Chevalet commence, également, ses interventions au journal télévisé e t peaufine son style "comment ça marche ?". Il invente la démonstration à l'aide de maquettes, à une époque où l'ordinateur n 'a pas encore son mot à dire...
Pendant ce temps, il entreprend une collaboration régulière avec la revue "Science et avenir", le quotidien "La Croix" et avec l'ORTF. Il côtoie dans l'équipe les grands noms de la vulgarisation scientifique tels que, François de Closet, Albert Ducroq ou Martine Allain-Régnault...
-1er janvier 1972 : Michel CHEVALET quitte l'enseignement pour rejoindre l'ORTF, et la rédaction du journal télévisé, "24heures sur la 2". La troisième chaîne vient juste de voir le jour ; Jean Lanzi et Jean-Pierre Elkabbach présentent le J.T sur la Une...
Michel Chevalet a été repéré pour ses articles par Jacques Alexandre, Directeur de l'information et Michel Péricard, le rédacteur-en-chef de l'époque. Jean-Pierre Chapel lui met "le pied à l'étrier" et le prend comme second pour commenter les missions spatiales Apollo.
-En parallèle, dès 1972 et à la demande de Jacqueline Joubert (connue pour êt re l'une des deux premières speakerines de la télé, mariée au journaliste Georges de Caunes et maman d'Antoine de Caunes), Michel Chevalet anime une émission scientifique pour la jeunesse ; c'est une "première" et une révolution pour l'époque. Son nom : "la petite science" ; elle va durer 10 ans. A cette époque, ces com pagnons de plateaux ont pour nom, Patrick Sabatier, Soizic Corn et... Nicolas Hulot !
-Michel Chevalet commence, également, ses interventions au journal télévisé e t peaufine son style "comment ça marche ?". Il invente la démonstration à l'aide de maquettes, à une époque où l'ordinateur n 'a pas encore son mot à dire...
Eté comme hiver, Michel Chevalet a couvert, depuis plus de 35 ans, des dizaines de lancement de fusées, comme, ici, sur le pas de tir de Baïkonour, au Kazakhstan, lors du lancement d'une fusée Soyouz. Température : -25 degrés...
-1979 : MCH fait vivre aux téléspectateurs de la première chaîne le lancement de la n ouvelle fusée européenne, Ariane. Le direct va durer près de 3h00 et se terminera le 24 décembre, à 18h14.
-12 avril 1981 : Michel Chevalet fait vivre aux Français, en compagnie de l'astronaute d'Apollo XIII, Fred Haise, le décollage et l'atterrissage de la première navette spatiale américaine, Colombia. La suite est une série de Grandes premières :
-M.Chevalet fait embarquer un orgue à bord de la station russe MIR, en 1986, avec le cosmonaute français Jean-Loup Chrétien, qui en joue, en direct, dans le journal de 20h00 !
-Michel Chevalet sera, aussi, le premier à essayer les simulateurs de vol des navettes américaines, (avec la complicité de Billy Bob, alias Jean-François Clervoy), utilisés lors des rendez-vous avec la station orbitale MIR.
-En 1982, parallèlement à ses interventions au journal de 13h00 et de 20h00, il créé le premier magazine TV consacré à la météo et au climat, "Météo Première" : 10 minutes tous les jours, en direct, de 19h00 à 19h10.
Avec le concours de Hervé Bourges, le Président en place, il va doter la chaîne du premier service météo comprenant une station satellite, posée sur le toit des locaux de Cognac-Jay !
Michel diffusera, ainsi, les premières images d'animation satellite dans un journal, puis formera les futurs présentateurs du bulletin météo comme Denis Vincenti ou Muriel Hess...
-12 avril 1981 : Michel Chevalet fait vivre aux Français, en compagnie de l'astronaute d'Apollo XIII, Fred Haise, le décollage et l'atterrissage de la première navette spatiale américaine, Colombia. La suite est une série de Grandes premières :
-M.Chevalet fait embarquer un orgue à bord de la station russe MIR, en 1986, avec le cosmonaute français Jean-Loup Chrétien, qui en joue, en direct, dans le journal de 20h00 !
-Michel Chevalet sera, aussi, le premier à essayer les simulateurs de vol des navettes américaines, (avec la complicité de Billy Bob, alias Jean-François Clervoy), utilisés lors des rendez-vous avec la station orbitale MIR.
-En 1982, parallèlement à ses interventions au journal de 13h00 et de 20h00, il créé le premier magazine TV consacré à la météo et au climat, "Météo Première" : 10 minutes tous les jours, en direct, de 19h00 à 19h10.
Avec le concours de Hervé Bourges, le Président en place, il va doter la chaîne du premier service météo comprenant une station satellite, posée sur le toit des locaux de Cognac-Jay !
Michel diffusera, ainsi, les premières images d'animation satellite dans un journal, puis formera les futurs présentateurs du bulletin météo comme Denis Vincenti ou Muriel Hess...
Michel Chevalet entouré de la fine équipe des présentateurs télé du célèbre bulletin météo, toutes chaînes confondues. On reconnaît Alain Gillot-Pétré (au centre), Sophie Davant et Guy Larivière, Evelyne Dhéliat, Michel Cardoze
-1986 : Au moment de la privatisation de TF1, Michel Chevalet prend la direction du service scientifique de la chaîne, avec dans son équipe, son maquettiste, Louis Dumont, sa documentaliste et deux collaborateurs, Anne-Marie Blanchet et Fabrice Collaro.
-Avril 1986 : Michel Chevalet fait réaliser, seulement trois jours après l'explosion, la première maquette du coeur de la centrale Lénine de Tchernobyl pour tenter d'expliquer ce qui s'est réellement passé dans la nuit du 26 avril 1986.
Michel Chevalet se rendra plusieurs fois sur le site pour réaliser des directs.
-Avril 1986 : Michel Chevalet fait réaliser, seulement trois jours après l'explosion, la première maquette du coeur de la centrale Lénine de Tchernobyl pour tenter d'expliquer ce qui s'est réellement passé dans la nuit du 26 avril 1986.
Michel Chevalet se rendra plusieurs fois sur le site pour réaliser des directs.
Michel Chevalet en compagnie de Denis Vincenti sur le plateau de Météo Première en 1983
-1986 : Michel Chevalet fait réaliser la première maquette de la station orbitale russe, MIR.
-De 1989 à 1992, Michel Chevalet couvre, pour TF1, les travaux du percement du tunnel sous la Manche et tient en haleine des milliers de téléspectateurs jusqu'à la date fatidique du 12 décembre 1992 où il fait vivre en direct, à 12h00, l'ultime coup de pioche de ce rendez-vous historique sous la Manche !
-De 1989 à 1992, Michel Chevalet couvre, pour TF1, les travaux du percement du tunnel sous la Manche et tient en haleine des milliers de téléspectateurs jusqu'à la date fatidique du 12 décembre 1992 où il fait vivre en direct, à 12h00, l'ultime coup de pioche de ce rendez-vous historique sous la Manche !
Michel Chevalet devant le réacteur de la centrale de Tchernobyl, lors d'un direct TV : on reconnaît toute sa fougue et son ardeur pour expliquer comment ça marche... !!
Un exploit technique hors du commun puisque cette retransmission a nécessité l'installation de vingt kilomètres de fibre optique, le démontage et l'installation d'une régie sous la mer, à mi-chemin entre la France et l'Angleterre... Résultat : une heure avant le direct, rien ne marche dans la régie mais au dernier moment, miracle du direct !, la liaison passe parfaitement.
De l'arrivée des premiers tunneliers jusqu'à la poignée de main historique, Michel Chevalet a suivi d'un bout à l'autre le percement du tunnel sous la Manche...
-18 mai 1990 : Michel Chevalet est monté à bord de la cabine du T.G.V., qui pulvérise le record du monde de vitesse ferroviaire avec plus de 515 km/h...
Michel a, du reste, suivi toute l'aventure du Train à Grande Vitesse, depuis les tous débuts de la rame expérimentale, le TGV001, en passant par les essais de qualification, le premier record du monde à 380 km/h, en février 1981, jusqu'à cette date fatidique du 18 mai 1990 où la rame 325 est entrée dans l'histoire...
-Janvier 1991 : Premier reportage en direct depuis Tchernobyl dans le 13H00 de Jean-Pierre Pernaud.
-1991 : Au moment où débute la première Guerre du Golfe, Michel Chevalet inaugure le "bac à sable", autrement dit une grande maquette reproduisant la position des forces irakiennes et de la coalition américaine. Ce qui donne l'idée aux Inconnus d'en faire un sketch, durant lequel le comédien Didier Bourdon a transformé un stylo en missile Scud...
-1992 : Lors d'un gala, il se lie d'amitié avec l'humoriste Laurent Gerra. Celui-ci va populariser sa célèbre expression, "comment ça marche?" d'abord sur R.T.L. puis sur Europe1 tous les matins.
Michel a, du reste, suivi toute l'aventure du Train à Grande Vitesse, depuis les tous débuts de la rame expérimentale, le TGV001, en passant par les essais de qualification, le premier record du monde à 380 km/h, en février 1981, jusqu'à cette date fatidique du 18 mai 1990 où la rame 325 est entrée dans l'histoire...
-Janvier 1991 : Premier reportage en direct depuis Tchernobyl dans le 13H00 de Jean-Pierre Pernaud.
-1991 : Au moment où débute la première Guerre du Golfe, Michel Chevalet inaugure le "bac à sable", autrement dit une grande maquette reproduisant la position des forces irakiennes et de la coalition américaine. Ce qui donne l'idée aux Inconnus d'en faire un sketch, durant lequel le comédien Didier Bourdon a transformé un stylo en missile Scud...
-1992 : Lors d'un gala, il se lie d'amitié avec l'humoriste Laurent Gerra. Celui-ci va populariser sa célèbre expression, "comment ça marche?" d'abord sur R.T.L. puis sur Europe1 tous les matins.
A droite, l'humoriste Laurent Gerra qui a popularisé l'expression de Michel, Comment ça marche... A gauche, un ami de longue date, André Pousse, dit dédé
-Tandis que Michel Chevalet n'a jamais cessé de couvrir toute l'actualité scientifique et technique dans les journaux de TF1, il prépare et présente, en compagnie de l'animatrice Dorothée, de 1991 à 1993, le magazine "Club Sciences" sur TF1, une émission éducative et pédagogique destinée à un jeune public et qui rencontrera un vif succès. Depuis "C'est pas sorcier" a repris le flambeau mais les émissions de science à la télé se font toujours aussi rares !
-1996 : Michel Chevalet devient Officier de la Légion d'Honneur sur proposition de François Fillon.
-Journaliste scientifique indépendant depuis 1999, Michel Chevalet a conçu et animé plusieurs magazines sur la « 5 », la Chaîne Encyclopédia ou la Chaîne Météo.
-1996 : Michel Chevalet devient Officier de la Légion d'Honneur sur proposition de François Fillon.
-Journaliste scientifique indépendant depuis 1999, Michel Chevalet a conçu et animé plusieurs magazines sur la « 5 », la Chaîne Encyclopédia ou la Chaîne Météo.
Michel Chevalet en compagnie des époux Haigneré et du ministre François Fillon, lors de la remise de sa légion d'honneur
-2001/2003 : Michel Chevalet réalise les magazines thématiques "La science en questions" et "Au coeur de la science" pour le compte du bouquet ABsat.
A cette occasion, il retourne à Tchernobyl, couvre les événements dramatiques du World Trade Center, à New York, s'immisce dans une station expérimentale de la Mars society, dans le désert de l'Utah, qui simule un séjour sur Mars et visite l'île de Montserrat, dans les Caraïbes, qui a été ravagée par un volcan toujours actif...
Michel reçoit pour ses émissions l'Item d'or du magazine culturel de l'année, en 2002, un trophée qui récompense les meilleures émissions du câble et du satellite...
-Outre ses magazines TV, Michel Chevalet a écrit de nombreux articles dans des revues scientifiques ; il a publié des ouvrages scolaires de physique-chimie et réalisé plusieurs documentaires (format DVD), tels que :
-"Opération Mulberry" (2004)
-« Dis Michel, comment ça marche ? » (2004)
-« Les secrets de la Tour Eiffel » (2005),
-"Planète Nausicaa" (2006)
A cette occasion, il retourne à Tchernobyl, couvre les événements dramatiques du World Trade Center, à New York, s'immisce dans une station expérimentale de la Mars society, dans le désert de l'Utah, qui simule un séjour sur Mars et visite l'île de Montserrat, dans les Caraïbes, qui a été ravagée par un volcan toujours actif...
Michel reçoit pour ses émissions l'Item d'or du magazine culturel de l'année, en 2002, un trophée qui récompense les meilleures émissions du câble et du satellite...
-Outre ses magazines TV, Michel Chevalet a écrit de nombreux articles dans des revues scientifiques ; il a publié des ouvrages scolaires de physique-chimie et réalisé plusieurs documentaires (format DVD), tels que :
-"Opération Mulberry" (2004)
-« Dis Michel, comment ça marche ? » (2004)
-« Les secrets de la Tour Eiffel » (2005),
-"Planète Nausicaa" (2006)
De la petite ville de Plymouth, dans l'île de Montserrat, il ne reste que le clocher de l'église, après la terrible éruption du volcan...
-En 2004/2005, Michel Chevalet réalise, en partenariat avec la société Universal, une collection de 30 numéros (fascicules + DVD) sur la conquête de l'espace, une première dans le genre !
-Depuis l'accident de son fils, Fabrice, en 2001, Michel Chevalet consacre la moitié de son temps au handicap et fédère un groupe de travail sur la technologie au service du handicap : fauteuil à assistance électrique, fauteuil roulant équipé d'une pile à combustible.
-Depuis l'accident de son fils, Fabrice, en 2001, Michel Chevalet consacre la moitié de son temps au handicap et fédère un groupe de travail sur la technologie au service du handicap : fauteuil à assistance électrique, fauteuil roulant équipé d'une pile à combustible.
-En 2006, inspirée d’un magazine de presse écrite, « Choc, l’émission », sur la chaine NT1, réunit en plateau, chaque semaine, Michel Chevalet et l’animateur Alexandre Devoise. Le but : fournir des explications scientifiques ou techniques à des événements spectaculaires ou des catastrophes survenues dans l’actualité.
-En 2007, Michel Chevalet réalise un rêve et lance, en collaboration avec la SNCF et les éditions Atlas, une collection de 70 dvd sur l’épopée du chemin de fer en France, « La passion des trains ». Le succès est au rendez-vous et la série va durer trois ans. Pour la première fois, la SNCF ouvre ses archives au grand public !
-Le 3 mars de la même année, le TGV bat son propre record du monde de vitesse sur rail avec 574, 8 km/h. Michel Chevalet se trouve à bord de la rame et nous fait partager le grand frisson ! Il réalise à cette occasion un documentaire sur les coulisses du record… Le film est présenté dans le cadre de la série, « La passion des trains ».
-En 2008, Michel joue le rôle de Blaise Pascal dans le docufiction, « Le manuscrit du dôme », un film français réalisé par Yves Courthaliac et David Girard, et qui raconte l’histoire du plus célèbre volcan d’Auvergne.
-En 2009, à la suite du Grenelle de l’Environnement, Michel conçoit une maison itinérante « Ma Maison Pour Agir », qui a pour but d’informer le grand public sur les nouvelles normes de construction BBC, qui entreront en vigueur en 2012.
-En 2009, Michel rejoint comme consultant scientifique la chaîne d’informations continue, I-Télé, diffusée sur la TNT.
-En 2007, Michel Chevalet réalise un rêve et lance, en collaboration avec la SNCF et les éditions Atlas, une collection de 70 dvd sur l’épopée du chemin de fer en France, « La passion des trains ». Le succès est au rendez-vous et la série va durer trois ans. Pour la première fois, la SNCF ouvre ses archives au grand public !
-Le 3 mars de la même année, le TGV bat son propre record du monde de vitesse sur rail avec 574, 8 km/h. Michel Chevalet se trouve à bord de la rame et nous fait partager le grand frisson ! Il réalise à cette occasion un documentaire sur les coulisses du record… Le film est présenté dans le cadre de la série, « La passion des trains ».
-En 2008, Michel joue le rôle de Blaise Pascal dans le docufiction, « Le manuscrit du dôme », un film français réalisé par Yves Courthaliac et David Girard, et qui raconte l’histoire du plus célèbre volcan d’Auvergne.
-En 2009, à la suite du Grenelle de l’Environnement, Michel conçoit une maison itinérante « Ma Maison Pour Agir », qui a pour but d’informer le grand public sur les nouvelles normes de construction BBC, qui entreront en vigueur en 2012.
-En 2009, Michel rejoint comme consultant scientifique la chaîne d’informations continue, I-Télé, diffusée sur la TNT.